Il ne saurait
que fermer le cortège
depuis
qu'elle les a rejoints
elle lui avait appris
à marcher
derrière des fantômes
Jean Coulombe, Alain Larose et Denis Samson ; trois poètes librement associés pour partager leur poésie sous toutes ses formes... FONDÉ EN JUIN 2009!
lili dit:
RépondreSupprimerEn vrai, lili pleure.Elle regarde la Blanche, la vieille, la photo. Le Blanc n'a jamais été aussi humain et en même temps, aussi douloureux à regarder.Un vrai visage, avec les émotions gravées dessus, ça ne se voit plus.On a interdit au temps de passer sur la peau, alors le regard s'est habitué à ne plus rien voir et là, il est obligé de voir, de reconnaitre...
Je pleure parce que vous avez fait, le Poète et le Photographe, quelque chose qui se fait rarement, l'amour.Je suis très sensible au rapport de l'art avec la condition humaine.
lili frikh