Vague sur vague sur récifs
les armures broient le rêve
la machine à vent souffle
lancée contre nos larmes
à froid sur la peau nue
l'heure bleue sans oiseau
sur la ville du gros cash
les chevaux ont sommeil
mais leurs maîtres hurlent
un adagio quelque part
veille sur la beauté du monde.
Jean Coulombe © 2012
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire