Toute cette masculinité
conviée au Festival
des commotions cérébrales.
Toute cette testostérone châtrée
à la kermesse des assassinats légaux
et tous ces spasmes incertains de vivre.
Tout, tout et re-tout
à l'infini des charges
recharges et décharges.
Toute cette douleur orpheline
sans autre appel que le gouffre.
Jean Coulombe © 2011
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