Ouvrir le soir
bras au ciel
aucun frisson
au nuage
au nuage
le vent ricane
noir
noir
au calme
des jours
des jours
ton visage
sous l'écorce
sous l'écorce
au coeur
à l'aubier
mes silences
au creux
des ombres
des ombres
tu me tends
cette main
cette main
elle radoucit
le paysage
le paysage
je retrouve
les mots
de la nuit
les mots
de la nuit
ceux
de la dernière flamme.
de la dernière flamme.
Jean Coulombe © 2011
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