Le vent noué au vent
un souffle aux ailes le ciel
motorisé s'égoutte
dans l'ombre portée
aux rêves d'un boulevard
on peut voir
la silhouette de l'été
ses corps de démolition affaissés
du portrait des néons
aux fabriques d'aurores disjointes .
À lécher les flammes d'égratignures
aux poings rouillés des dynamos
à l'aube il y a des anges
dans nos prélèvements .
J'ai vu ça moi aussi,un soir en ville,en vidant ma vie,un soir en ville,pas très tard,j'ai vu ça moi aussi en vidant ma vie mais impossible de le dire...
RépondreSupprimer