Ta bouche aborde
mes rives sauvages
au bout de toi-même
au-dedans de ton cri
tu sens ce qui doit être
tu portes ce qui te touche
comme un parfum nouveau
sous la lune mère
tes bras nus
enserrent la nuit
enserrent la nuit
attendrissent
l'aube apatride.
l'aube apatride.
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer