La solitude morbide
lâche prise vers le vide
les oiseaux-flammes
accompagnent
le souffle chaud
du printemps éternel.
Pourquoi ce vertige
penché sur ma ville?
Pourquoi brûle l'espoir
sous ma langue?
Tout sera dit sans brusquer
les étoiles
tout sera consumé
au bruit du silence.
Jean Coulombe © 2018
C'est très beau. Merci pour ce poème, et cette photo.
RépondreSupprimerShirley