Parfois l'aube glisse de ta main
chaude comme un chaton perdu
aboyant d'amour dans l'ombre.
Parfois l'aube glisse de ton épaule
vers le creux de nos chaleurs.
Parfois l'aube s'enroule à ton cou
éperdue d'enfance comme moi.
Oui, comme moi...
Jean Coulombe © 2013
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