À Lorca...
Avec la poésie fusillée à l'aube
des pays sans mémoire
au crépuscule des sangrias
sans Espagne
les invités aux fêtes du pouvoir
marchent au pas de la loi
marchent sans savoir
où la nuit va tomber
le long des rues
les regards s'enveniment
le ciel se casse
la fin du monde s'en vient
la fin du monde
s'en va
la fin du monde s'en fout.
Denis Samson © 2012
...sans Espagne...
RépondreSupprimeroù bâtirons-nous nos châteaux ?
bravo
claudantar