La détresse de la bête me touche. Elle devrait hurler. Au lieu de ça, pour ne pas mourir, pour "n'éveiller personne",elle retient son cri. Cette bête m'a tout l'air d'un ange et si c'était un homme, peut-être, d'un poète affamé. Dans tous les cas, j'apprécie la sobriété du désarroi, la place faite au silence, dans l'épreuve du manque. lili frikh
Je viens parfois, aux heures qui s'allongent, tremper mes yeux à vos vers ( et qu'ils s'abreuvent d'une métaphore trois quart )pour remarquer, toujours, Ô combien les sensibilités divergent pour mieux m'en étourdir... Passionnément, donc ;)
La détresse de la bête me touche.
RépondreSupprimerElle devrait hurler. Au lieu de ça, pour ne pas mourir, pour "n'éveiller personne",elle retient son cri.
Cette bête m'a tout l'air d'un ange et si c'était un homme, peut-être, d'un poète affamé.
Dans tous les cas, j'apprécie la sobriété du désarroi, la place faite au silence, dans l'épreuve du manque. lili frikh
Je viens parfois, aux heures qui s'allongent, tremper mes yeux à vos vers ( et qu'ils s'abreuvent d'une métaphore trois quart )pour remarquer, toujours, Ô combien les sensibilités divergent pour mieux m'en étourdir...
RépondreSupprimerPassionnément, donc ;)
C'est bien ainsi... la variété a meilleur goût!!!
RépondreSupprimerJean