Les humains marchent à part
consomment le vide dans leur tête
en cris rauques
avec l'envie de rompre
les amarres blanches
les liant aux choses
les liant entre eux
ouverts sur le temps
l'Absolu réversible
fugace très fugace
les humains marchent à part
comme s'il ne pouvait
en aller autrement.
Un portrait bien esquissé. Vraiment, c'est un bon poème.
RépondreSupprimer